Après une bien longue période de silence, tentons de redonner un peu de vie à cet espace tant inutile que récréatif (pour moi). Initialement créé pour parler de musique, quoi de plus logique que d'y revenir en détaillant mes écoutes du moment. Mieux encore, en proposant CARREMENT une petite playlist improbable parfois, sincère sur la représentativité de mes écoutes du moment toujours.
Surfin' Safari, Beach Boys.
Jusqu'à il y a quelques semaines, je n'écoutais ce groupe qu'au travers de leur fameux "Pet Sounds", en y prenant du plaisir principalement sur leurs titres "majeurs" ("Wouldn't It be Nice" en courant nu dans un pré, "God Only Knows" l'œil humide, "Sloop John B" pensant à feu les Walker Texas Ranger Appreciation Society). Rien de plus. Jusqu'à la découverte grâce à un ami vivant seul dans une grotte aux murs constitués de disques, de l'un de leurs si nombreux "Greatest Hits" à la pochette assez immonde (admirez). Une compilation donc, mais passée à la moulinette de la remasterisation. Les voix prennent alors une dimension assez exceptionnelle, à tel point que j'ai parfois l'impression que l'un des Wilson vient me léchouiller le lobe de l'oreille droit, en me poussant un "ahhhou". Bref. La "surf pop" proposée par les Beach Boys en début d'album me porte sans mal jusqu'aux portes des rames du métro le sourire aux lèvres, même un lundi matin. Surfin' Safari illustre parfaitement ceci.
Bang!, The Raveonettes
Identiquement à la précédente, tout en proposant une recette bien différente, cette chanson me fait marcher sur du coton. Guitare ultra saturée, mélodie vocale parfaite, pont entêtant. Idéal le jeudi matin, lorsque l'on croit au réveil, la dernière journée de la semaine arrivée, mais que ce connard de Laurent Cabrol vient vous rappeler que, non, il en reste encore deux.
A Thousand Words, Styrofoam
Groupe attrapé un peu au hasard d'un top fait par un illustre forumiste au chapeau instable (copain) ce groupe est pour moi une énigme. Je ne sais absolument rien d'eux (de lui?), et n'ai jamais pu me renseigner dessus. Pour une simple raison : le random de mon Podinew me l'offrant UNIQUEMENT lorsque je suis éloigné de tout élément informatique permettant une quelconque recherche. Métro, Bus, champ de maïs, île de LOST. N'ayant ni iphone, ni mon manuel de "Comment Ouvrir une Ecoutille avec un Ouvre-Boîte", c'est à chaque fois la même rengaine dans ma tête :" ah oui putain, c'est qui ça déjà ?? Ah oui c'est Stiro-truc là ! Oh là, cette chanson, c'est l'été putain !!!!".
Voilà. Du coup, ok c'est l'été entre mes oreilles, mais je ne sais rien des (de) Styrofoam. Le pire, c'est que je ne sais même pas pourquoi cette chanson me fait bronzer...
Waterfall, Stone Roses
Dans la série des groupes "ah oui eux c'est vrai, un jour, je dois essayer", les Stone Roses trônaient en rois. Souvent cités en tant que référence ultime pour les groupes britpop tels que Blur ou Oasis, intimement liés à l'histoire des Primal Scream que j'aime tant, je ne pouvais pas mourir sans les connaitre. La première écoute en mode paresseux (j'entends par là, en somnolant le matin dans le RER), ne me marqua pas plus que ça, jusqu'à cette improbable Elisabeth My Dear. Cette "chansonnette" d'apparence anodine eut l'effet d'une piqure d'adrénaline, me réveillant en sursaut. Je ne saurai trop dire pourquoi, mais ces quarante et quelques secondes déchargeaient alors bien plus d'émotion, que ... je ne sais pas moi...
Tu prends un type gentil, genre Ben Harper.
Tu prends ces disques.
Tu te les enchaines. Tous.
Un par un.
A chaque titre ou tu ressens une émotion, tu coches une case sur ton cahier à spirales.
Tu les reprends. Non tu ne les jettes pas.
Tu les écoute à l'envers.
Tu re-comptabilises les émotions avec ton bic.
Et tu sommes le tout.
Hé bien, tu es loin du compte face au nombre que j'aurais mis à Elisabeth My Dear.
Hé ouais.
Là tu peux jeter les disques.
Loin.
Ceci dit, je pensais que mettre une chanson de 40 secondes, c'était un peu la jouer "petit bras", 1-0, gâteau sans faire la pâte soi même. Donc, j'ai choisi de mettre Waterfall, sûrement plus représentative du son de ce premier Stone Roses, que j'écoute désormais très régulièrement.
ps : un grand merci au service expéditions de la FNAC, qui au lieu de ma commande de la version 20th Anniversary, m'envoya ceci :
Un procès est en cours.
Pills, Primal Scream
Je n'aurais pas pensé mettre de chanson "live" dans cette sélection, étant donné que j'en écoute très peu, mais la qualité et la puissance du "Live In Japan" des Primal Scream me forcent la main. Difficile de résumer en 4 minutes l'étendue de la palette de ce groupe hors normes... entre la furie électronique de Miss Lucifer, et le gros rock à guitares de Jailbird, j'ai pris le miyeu.
Couldn't Stand The Weather, Stevie Ray Vaughan
Je n'écouterai probablement jamais un de ces albums en entier, mais ce son de guitare m'a toujours fait rêver. Alors, rêvons ensemble.
J'ai Xavier Bertrand en fond sonore actuellement, donc excusez mon inspiration bleutée.
They're Red Hot, Robert Johnson - Red Hot Chili Peppers
Les Red Hot Chili Peppers furent pour moi le groupe le plus écouté dans le début des années 90. Avec en points d'orgues "Blood Sugar Sex Magic", et "One Hot Minute". Sur le premier cité, une chanson m'a toujours intriguée : They're red Hot, une reprise d'un certain Robert Johnson. Dans le style totalement et génialement funky des californiens, est remis au gout du jour un vieux titre poussiéreux des années 30-40 (?). Je m'étais alors promis d'un jour retrouver cet original.
R.Johnson, bluesman pour le moins énigmatique (personne ne sait quand il est mort, seules 2 photos de lui existent encore) avait la réputation d'avoir vendu son âme au diable en échange de son talent de guitariste. A l'écoute des ses "Complete Recordings" sortis au début des années 90, on comprend que Louis Cypher ne l'a pas arnaqué. Même si le son est tout de même bien pauvre comparé aux remasters qui paraissent actuellement (pour des groupes moins anciens, certes), la voix et les composition du bonhomme sont étonnantes.
Don't Let Go, Gisli
Une simple chronique d'album lue au hasard d'un ennui RATPien. Un album d'un artiste au nom inconnu. Un nom à consonance nordique. Rien d'attirant en soi. Mais un petit name dropping attire mon attention dans les premières lignes survolées. Un name dropping où apparait Beck. L'attention est captée, je lirai jusqu'au bout et écouterai probablement ce gars.
Ce truc m'est arrivé deux fois en peu de temps il y a quelques années. Une fois pour Sondre Lerche, une autre pour Gisli. Si pour le premier nommé, la ressemblance Beckienne se situera plutot dans le coté "folk" du blondinet, Gisli penche lui du coté du bricolo-touche-à-tout. Du moins sur son premier, et excellent, album : "How About That?".
Son second dont la sortie m'était passé inaperçue, me parait - après deux écoutes seulement - malheureusement moins spontané et barré. Don't Let Go a cependant retenu mon attention, donc...
In The Morning, Graham Coxon :
Le Graham délaisse ses compos punk, après un très moyen "Travels At Illegal Speeds", pour donner dans l'acoustique. Pourquoi pas. Bonne idée même, à l'écoute du "Spinnal Top" dont il accouche, la surprise laissant rapidement place au plaisir. Malgré une durée pour moi bien trop importante pour un album, j'écoute régulièrement jusqu'à ce que fin de cd s'en suive les nouvelles composition du père Coxon. In The Morning résume un peu tout ce blabla par la belle simplicité de ses arpèges, la douceur du chant, et une longueur un peu rebutante.
You Don't Know Love, Editors :
Après avoir été un peu mises de côté pour faire place au piano de Tom Smith, les guitares sont presque absentes du nouvel album des Editors, "In This Light And On This Evening". A l'image du premier single Papillon, le synthétiseur vient régulièrement voler la vedette à tout autre instrument.
Lorsque tous parviennent tout de même à cotoyer sur un titre, ça donne You Don't Know Love. Les chœurs du début me faisant penser à ces feignasses de Klaxons au passage.
Happiness With A Warm Gun, Beatles :
Sympathique petit groupe que les Beatles. Deux trois tubes, quelques albums pas trop mauvais. Cela valait-il bien cette double réédition en stéréo et mono des leurs discographie plusieurs dizaine d'années après leur dernier (vrai) album, tant attendue par des millions de fans ?
Quoiqu'il en soit, une fois les 250€ déboursés pour l'une de ces versions, il me fallait bien y piocher un titre à proposer ici, étant donné que pas une journée ne se passe sans que je n'écoute l'un de ses albums remasterisés. En voilà un donc avec Happiness With A Warm Gun, belle chanson à tiroirs issue du "White Album".
Mrs Vandebilt, Paul McCartney
Les compositions de ce dernier chez les Beatles étant celles qui me marquèrent en premier, il était donc normal pour moi d'un jour m'intéresser à la carrière solo du Sir. Premier essai plutôt concluent avec son "Band On The Run". J'y redécouvre des titres qui étaient pour moi des S.A.F. (Sans Album Fixe, à savoir des chansons que l'on connait depuis des années, mais dont on est pas foutu de déterminer de quel album elles sont issues), comme Jet, ou bien sur, Band On The Run. Mrs Vandebilt celle là, je la découvre complètement, et la kiffe aussitôt. Une histoire d'amour est née entre nous. Désolé Mr Vandebilt.
Earthquake, Little Boots
Tout d'abord, je tiens à rendre hommage par là, à l'un des catcheurs américains qui berça mon enfance avec ses potes de la WWF : John "Earthquake" Tenta. Mec, ton coup de la corde à linge n'avait d'égal que ton saut de la 2ème corde.
Sinon, cette Little Boots dont l'album m'est tombé sous les oreilles par le biais d'un facétieux random de mon Podinew, me plait bien. Un peu comme le "All Right, Still" de Lily Allen m'avait alors marqué à sa sortie alors que rien ne le prédestinait, je prend cette Little Boots et son album "Hands" comme un petit shoot d'oxygène pur.
Lien MegaUpload.
Surfin' Safari, Beach Boys.
Jusqu'à il y a quelques semaines, je n'écoutais ce groupe qu'au travers de leur fameux "Pet Sounds", en y prenant du plaisir principalement sur leurs titres "majeurs" ("Wouldn't It be Nice" en courant nu dans un pré, "God Only Knows" l'œil humide, "Sloop John B" pensant à feu les Walker Texas Ranger Appreciation Society). Rien de plus. Jusqu'à la découverte grâce à un ami vivant seul dans une grotte aux murs constitués de disques, de l'un de leurs si nombreux "Greatest Hits" à la pochette assez immonde (admirez). Une compilation donc, mais passée à la moulinette de la remasterisation. Les voix prennent alors une dimension assez exceptionnelle, à tel point que j'ai parfois l'impression que l'un des Wilson vient me léchouiller le lobe de l'oreille droit, en me poussant un "ahhhou". Bref. La "surf pop" proposée par les Beach Boys en début d'album me porte sans mal jusqu'aux portes des rames du métro le sourire aux lèvres, même un lundi matin. Surfin' Safari illustre parfaitement ceci.
Bang!, The Raveonettes
Identiquement à la précédente, tout en proposant une recette bien différente, cette chanson me fait marcher sur du coton. Guitare ultra saturée, mélodie vocale parfaite, pont entêtant. Idéal le jeudi matin, lorsque l'on croit au réveil, la dernière journée de la semaine arrivée, mais que ce connard de Laurent Cabrol vient vous rappeler que, non, il en reste encore deux.
A Thousand Words, Styrofoam
Groupe attrapé un peu au hasard d'un top fait par un illustre forumiste au chapeau instable (copain) ce groupe est pour moi une énigme. Je ne sais absolument rien d'eux (de lui?), et n'ai jamais pu me renseigner dessus. Pour une simple raison : le random de mon Podinew me l'offrant UNIQUEMENT lorsque je suis éloigné de tout élément informatique permettant une quelconque recherche. Métro, Bus, champ de maïs, île de LOST. N'ayant ni iphone, ni mon manuel de "Comment Ouvrir une Ecoutille avec un Ouvre-Boîte", c'est à chaque fois la même rengaine dans ma tête :" ah oui putain, c'est qui ça déjà ?? Ah oui c'est Stiro-truc là ! Oh là, cette chanson, c'est l'été putain !!!!".
Voilà. Du coup, ok c'est l'été entre mes oreilles, mais je ne sais rien des (de) Styrofoam. Le pire, c'est que je ne sais même pas pourquoi cette chanson me fait bronzer...
Waterfall, Stone Roses
Dans la série des groupes "ah oui eux c'est vrai, un jour, je dois essayer", les Stone Roses trônaient en rois. Souvent cités en tant que référence ultime pour les groupes britpop tels que Blur ou Oasis, intimement liés à l'histoire des Primal Scream que j'aime tant, je ne pouvais pas mourir sans les connaitre. La première écoute en mode paresseux (j'entends par là, en somnolant le matin dans le RER), ne me marqua pas plus que ça, jusqu'à cette improbable Elisabeth My Dear. Cette "chansonnette" d'apparence anodine eut l'effet d'une piqure d'adrénaline, me réveillant en sursaut. Je ne saurai trop dire pourquoi, mais ces quarante et quelques secondes déchargeaient alors bien plus d'émotion, que ... je ne sais pas moi...
Tu prends un type gentil, genre Ben Harper.
Tu prends ces disques.
Tu te les enchaines. Tous.
Un par un.
A chaque titre ou tu ressens une émotion, tu coches une case sur ton cahier à spirales.
Tu les reprends. Non tu ne les jettes pas.
Tu les écoute à l'envers.
Tu re-comptabilises les émotions avec ton bic.
Et tu sommes le tout.
Hé bien, tu es loin du compte face au nombre que j'aurais mis à Elisabeth My Dear.
Hé ouais.
Là tu peux jeter les disques.
Loin.
Ceci dit, je pensais que mettre une chanson de 40 secondes, c'était un peu la jouer "petit bras", 1-0, gâteau sans faire la pâte soi même. Donc, j'ai choisi de mettre Waterfall, sûrement plus représentative du son de ce premier Stone Roses, que j'écoute désormais très régulièrement.
ps : un grand merci au service expéditions de la FNAC, qui au lieu de ma commande de la version 20th Anniversary, m'envoya ceci :
Un procès est en cours.
Pills, Primal Scream
Je n'aurais pas pensé mettre de chanson "live" dans cette sélection, étant donné que j'en écoute très peu, mais la qualité et la puissance du "Live In Japan" des Primal Scream me forcent la main. Difficile de résumer en 4 minutes l'étendue de la palette de ce groupe hors normes... entre la furie électronique de Miss Lucifer, et le gros rock à guitares de Jailbird, j'ai pris le miyeu.
Couldn't Stand The Weather, Stevie Ray Vaughan
Je n'écouterai probablement jamais un de ces albums en entier, mais ce son de guitare m'a toujours fait rêver. Alors, rêvons ensemble.
J'ai Xavier Bertrand en fond sonore actuellement, donc excusez mon inspiration bleutée.
They're Red Hot, Robert Johnson - Red Hot Chili Peppers
Les Red Hot Chili Peppers furent pour moi le groupe le plus écouté dans le début des années 90. Avec en points d'orgues "Blood Sugar Sex Magic", et "One Hot Minute". Sur le premier cité, une chanson m'a toujours intriguée : They're red Hot, une reprise d'un certain Robert Johnson. Dans le style totalement et génialement funky des californiens, est remis au gout du jour un vieux titre poussiéreux des années 30-40 (?). Je m'étais alors promis d'un jour retrouver cet original.
R.Johnson, bluesman pour le moins énigmatique (personne ne sait quand il est mort, seules 2 photos de lui existent encore) avait la réputation d'avoir vendu son âme au diable en échange de son talent de guitariste. A l'écoute des ses "Complete Recordings" sortis au début des années 90, on comprend que Louis Cypher ne l'a pas arnaqué. Même si le son est tout de même bien pauvre comparé aux remasters qui paraissent actuellement (pour des groupes moins anciens, certes), la voix et les composition du bonhomme sont étonnantes.
Don't Let Go, Gisli
Une simple chronique d'album lue au hasard d'un ennui RATPien. Un album d'un artiste au nom inconnu. Un nom à consonance nordique. Rien d'attirant en soi. Mais un petit name dropping attire mon attention dans les premières lignes survolées. Un name dropping où apparait Beck. L'attention est captée, je lirai jusqu'au bout et écouterai probablement ce gars.
Ce truc m'est arrivé deux fois en peu de temps il y a quelques années. Une fois pour Sondre Lerche, une autre pour Gisli. Si pour le premier nommé, la ressemblance Beckienne se situera plutot dans le coté "folk" du blondinet, Gisli penche lui du coté du bricolo-touche-à-tout. Du moins sur son premier, et excellent, album : "How About That?".
Son second dont la sortie m'était passé inaperçue, me parait - après deux écoutes seulement - malheureusement moins spontané et barré. Don't Let Go a cependant retenu mon attention, donc...
In The Morning, Graham Coxon :
Le Graham délaisse ses compos punk, après un très moyen "Travels At Illegal Speeds", pour donner dans l'acoustique. Pourquoi pas. Bonne idée même, à l'écoute du "Spinnal Top" dont il accouche, la surprise laissant rapidement place au plaisir. Malgré une durée pour moi bien trop importante pour un album, j'écoute régulièrement jusqu'à ce que fin de cd s'en suive les nouvelles composition du père Coxon. In The Morning résume un peu tout ce blabla par la belle simplicité de ses arpèges, la douceur du chant, et une longueur un peu rebutante.
You Don't Know Love, Editors :
Après avoir été un peu mises de côté pour faire place au piano de Tom Smith, les guitares sont presque absentes du nouvel album des Editors, "In This Light And On This Evening". A l'image du premier single Papillon, le synthétiseur vient régulièrement voler la vedette à tout autre instrument.
Lorsque tous parviennent tout de même à cotoyer sur un titre, ça donne You Don't Know Love. Les chœurs du début me faisant penser à ces feignasses de Klaxons au passage.
Happiness With A Warm Gun, Beatles :
Sympathique petit groupe que les Beatles. Deux trois tubes, quelques albums pas trop mauvais. Cela valait-il bien cette double réédition en stéréo et mono des leurs discographie plusieurs dizaine d'années après leur dernier (vrai) album, tant attendue par des millions de fans ?
Quoiqu'il en soit, une fois les 250€ déboursés pour l'une de ces versions, il me fallait bien y piocher un titre à proposer ici, étant donné que pas une journée ne se passe sans que je n'écoute l'un de ses albums remasterisés. En voilà un donc avec Happiness With A Warm Gun, belle chanson à tiroirs issue du "White Album".
Mrs Vandebilt, Paul McCartney
Les compositions de ce dernier chez les Beatles étant celles qui me marquèrent en premier, il était donc normal pour moi d'un jour m'intéresser à la carrière solo du Sir. Premier essai plutôt concluent avec son "Band On The Run". J'y redécouvre des titres qui étaient pour moi des S.A.F. (Sans Album Fixe, à savoir des chansons que l'on connait depuis des années, mais dont on est pas foutu de déterminer de quel album elles sont issues), comme Jet, ou bien sur, Band On The Run. Mrs Vandebilt celle là, je la découvre complètement, et la kiffe aussitôt. Une histoire d'amour est née entre nous. Désolé Mr Vandebilt.
Earthquake, Little Boots
Tout d'abord, je tiens à rendre hommage par là, à l'un des catcheurs américains qui berça mon enfance avec ses potes de la WWF : John "Earthquake" Tenta. Mec, ton coup de la corde à linge n'avait d'égal que ton saut de la 2ème corde.
Sinon, cette Little Boots dont l'album m'est tombé sous les oreilles par le biais d'un facétieux random de mon Podinew, me plait bien. Un peu comme le "All Right, Still" de Lily Allen m'avait alors marqué à sa sortie alors que rien ne le prédestinait, je prend cette Little Boots et son album "Hands" comme un petit shoot d'oxygène pur.
Lien MegaUpload.
3 commentaires:
Merci surtout pour le titre de Primal Scream (qui m'a démontré que Kasabian s'en sont bien BIEN inspirés), je connais peu ce groupe et ça m'a donné envie de m'y mettre.
Merci aussi pour le titre des Raveonettes, j'avais écouté le disque quand il étais sorti et il m'avait ennuyée, je le trouvais un peu trop "facile", il surfe sur la vague du revival shoegaze / 90s et j'attendais une prise de risque, bref, ce morceau m'était totalement passé à côté, mais grâce à toi Ô "grand" Rémi, l'erreur est réparée.
Wooawww, superbe retour !!!
un article riche en info (tout ces artistes dont on entend parler...)!! cool !!
Par contre je trouve un peu moyen ta justification de la présence de Mr Fiori[ture] dans ta riche CDthèque...
à bientôt !
BOnjour,
n'avez vous jamais vu le film o'brother qui reprend la vie de Robert Johnson (Tommy jonhson dans le film) ... et oui, en plus des 2 photos disponible sur le net , voila un petit clin d'oeil a un guitariste hors pair . de plus, clin d'oeil par les freres Coen (respect tout de meme !) ... merci pour cette récréation musicale que j'apprécie tant . je ne manquerais pas de suivre ce blog; maintennat que je l'ai découvert ....
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