Je viens enfin de comprendre le second album de MGMT. Tout comme certains albums des Beatles avaient mis du temps afin de réellement s'offrir à moi - Abbey Road notamment - ce surprenant Congratulation est parvenu a ses fins.
Je ne cite pas complètement les Beatles au hasard, car il me semble que cet album pourrait devenir un classique, une référence. Le retournement de veste est brutal, et l'avis exagéré, mais telle est la sensation qui m'habitait à la sortie des 12 minutes de Syberian Breaks en cette fin d'après midi. Un espèce d'Opéra imaginaire s'est joué dans ma tête tout le long de la chanson. Plus qu'une chanson, s'en est une suite tenue par un fil qui jamais ne romps malgré sa finesse...
Le ludique Brian Eno à l'intro me faisant penser aux Buzzcocks, vient alors me réveiller en me secouant vigoureusement. La fin reste anecdotique pour moi, je reste un peu perché dans les airs Syberiens.
Les cinq chansons précédant Syberian Breaks sont toutes également brillantes. J'ai une sensation étrange en les écoutant : comme si elles venaient d'un passé lointain enfumé, tout en gardant un son moderne et lumineux. Pas sûr que ça veuille dire grand chose, mais ce sont les impressions à chaud après cette "révélation".
Forcément cet album me renvoie au dernier Gorillaz qui tenait le haut du pavé des albums 2010 dans mon petit cœur de pin landais. Si celui de Damon Albarn m'avait épaté avant tout par sa cohérence globale, Congratulations me parait moins "logique" dans ses enchainements. Un peu plus éparpillé, fou. Une folie qui sied parfaitement à la musique de cet album à la pochette tout aussi perchée:
Je ne cite pas complètement les Beatles au hasard, car il me semble que cet album pourrait devenir un classique, une référence. Le retournement de veste est brutal, et l'avis exagéré, mais telle est la sensation qui m'habitait à la sortie des 12 minutes de Syberian Breaks en cette fin d'après midi. Un espèce d'Opéra imaginaire s'est joué dans ma tête tout le long de la chanson. Plus qu'une chanson, s'en est une suite tenue par un fil qui jamais ne romps malgré sa finesse...
Le ludique Brian Eno à l'intro me faisant penser aux Buzzcocks, vient alors me réveiller en me secouant vigoureusement. La fin reste anecdotique pour moi, je reste un peu perché dans les airs Syberiens.
Les cinq chansons précédant Syberian Breaks sont toutes également brillantes. J'ai une sensation étrange en les écoutant : comme si elles venaient d'un passé lointain enfumé, tout en gardant un son moderne et lumineux. Pas sûr que ça veuille dire grand chose, mais ce sont les impressions à chaud après cette "révélation".
Forcément cet album me renvoie au dernier Gorillaz qui tenait le haut du pavé des albums 2010 dans mon petit cœur de pin landais. Si celui de Damon Albarn m'avait épaté avant tout par sa cohérence globale, Congratulations me parait moins "logique" dans ses enchainements. Un peu plus éparpillé, fou. Une folie qui sied parfaitement à la musique de cet album à la pochette tout aussi perchée:
Le clip du single Flash Delirium sorti en préambule de l'album ferait passer Vol Au Dessus d'Un Nid de Coucou pour les Bronzés Font Du Ski. Ça veut rien dire, mais on s'en fout :
J'en profite pour rendre hommage à une homme qui nous a quitté bien trop tôt :
En effet, Peter Brushing (l'inventeur de) est décédé hier, dans son domicile en mangeant une saucisse.
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